Excel ne sera jamais votre meilleur analyste
Excel ne sera jamais votre meilleur analyste
“Je maîtrise mes fichiers, je les ai toujours faits comme ça.”
C’est souvent vrai.
Jusqu’au jour où une formule saute, une version circule, ou qu’un chiffre est contesté en boardroom.
Dans le secteur bancaire, Excel reste l’outil n°1 des CFO.
Mais il est temps de poser la vraie question :
Est-ce qu’il vous aide vraiment à piloter ?
7 limites d’Excel que nous voyons chaque semaine
1. Un outil bureautique, pas un moteur décisionnel
Excel est conçu pour la saisie, pas pour le pilotage croisé de données complexes (AUM, NNM, ROA, forex impact…). Il n’est ni un MIS, ni une source consolidée de vérité.
2. Des erreurs humaines inévitables
Même les meilleurs se font piéger : copier-coller, formules effacées, plages mal définies. Ce n’est pas une question de rigueur, c’est un problème structurel.
3. Un temps perdu colossal… pour valider l’existant
Avant d’analyser, il faut vérifier. Et souvent… recommencer. La charge mentale augmente au lieu de libérer du temps pour les arbitrages.
4. Des chiffres contestés en boardroom
“D’où vient ce chiffre ?” Si la réponse passe par 12 onglets et 3 fichiers joints… la crédibilité s’effondre. Et vous perdez la main sur votre message.
5. Une absence de version unique de la vérité
Chaque fichier est une version concurrente. Envoi par mail, retouches de dernière minute, versions locales : au final, personne ne sait vraiment sur quoi on s’appuie.
6. Une dépendance implicite à l’humain
Le tableau de Pierre. Le fichier de Marie. Quand ils partent ou sont absents, une partie du reporting devient inopérante. Le système repose sur les épaules, pas sur un outil.
7. Une illusion de liberté… qui bride l’analyse
Avec Excel, chacun fait “comme il veut”. Mais sans mise à jour automatique, sans visualisation dynamique, sans consolidation… c’est de l’artisanat, pas du pilotage.
Check-list à se poser ce mois-ci
Vos chiffres clés sont-ils traçables à tout moment ?
Pouvez-vous justifier une décision en 2 clics en Comex ?
Votre reporting repose-t-il sur un outil… ou sur une personne ?
Avez-vous une source unique, fiable, actualisée des indicateurs sensibles ?
Le temps passé à produire vos chiffres est-il supérieur à celui passé à les exploiter ?
Integraal for Banking – la réponse concrète à ces limites
Centraliser vos données financières, en lien direct avec vos outils bancaires (Olympic, Avaloq, etc.)
Exemple : plus besoin d’exporter manuellement les flux. Les données sont synchronisées automatiquement et catégorisées selon vos règles métiers.
Consolider les indicateurs critiques (AUM, NNM, rétrocessions…) en temps réel
Exemple : vous visualisez en un clic la contribution nette par client, gérant ou desk, avec distinction entre effets marché, forex et apports nets.
Sécuriser la traçabilité, avec une logique de pilotage documentée
Exemple : chaque indicateur affiché peut être “remonté” en détail pour répondre à la question du COMEX “comment ce chiffre a-t-il été construit ?”
Libérer les équipes des tâches de retraitement
Exemple : les collaborateurs passent moins de temps à produire des tableaux et plus de temps à analyser les écarts, suivre les KPIs et alerter.
Fournir une réponse claire, rapide, structurée à chaque exigence du COMEX
Exemple : un membre du CODIR pose une question précise 30 minutes avant la réunion ? Vous pouvez l’illustrer par une vue consolidée, à jour, sans passer par l’IT.
